De l’Antiquité à la Renaissance en une soirée. 28 novembre 2014.
Une belle partie, avec fortes engueulades, et un Paulo très en forme contre Jean-Yves, puisque le second a très souvent grillé la politesse au premier.
Le plateau est foisonnant, tout comme le matériel. Le jeu ressortira sûrement.
De l’autre côté, Nini, Flo, Balrog, Yon et le fils de Manu m’accompagnent dans l’Antiquité pour une partie de 7 Wonders à 6 avec les extensions Leaders et Babel, uniquement la tour pour la dernière parue.
Une belle victoire de Balrog pour sa première partie, mais nous ne sommes pas convaincu par la tour de Babel, seulement 4 tuiles sur 18 ont été construites.
J’ai construit 2 de mes tuiles Babel, pour un résultat mitigé finalement. J’ai pu construire des tuiles rouges gratuitement, j’ai construit des leaders associés, et une guilde qui va avec, mais les cartes vertes ont fait la différence.
Je pensais pourtant en avoir jeter un nombre conséquent. J’ai construit trop tard en fait.
Il faudra essayer bientôt les grandes constructions, qui, avec le système de pénalité, seront sûrement plus interactives.
Pendant que la première table continue sa partie de plus de 3 heures, nous enchaînons avec Rattus et les deux extensions Pied Piper et Africanus.
À 6 joueurs, on prend 8 personnages parmi les presque 50 que compte le jeu et toutes ses extensions.
Nous avons donc joué avec le magicien, Merlin, le joueur de flûte, la nonne, le fou Bgg, le bédouin, le diplomate et le soldat.
Au terme de la partie, Fred et Nini finissent à égalité avec moi, et c’est Nini qui gagne selon la règle de départage.
J’ai bien fait de ressortir ce jeu, il est très fin, et rejouable à l’infini avec le nombre de personnages présents. Il faut penser à ces boites le plus souvent possible, c’est quand même un grand jeu.
Après séparation et dissolution des tables, Paulo, Yon et moi tentons notre troisième partie en campagne de Pathfinder JCE , et cette fois, nous venons à bout de l’Apothicaire Podiker, avec 7 ou 8 bénédictions encore disponibles dans le paquet.
Une bien belle victoire, mais de peu de renforcements avant d’aller défier le dragon Croc-Noir dans sa tanière la prochaine fois.
À bientôt pour de nouvelles aventures.
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Pirateries, sans bouteille de rhum. Soirée du 21 novembre 2014
À bientôt pour la suite de nos aventures!
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Encore une fois, refaire le monde, sans avoir l’air d’y toucher! Soirée du 14 novembre 2014
Une victoire de Manu plus tard, le jeu divise encore les joueurs.
Sous son apparence de jeu de guerre et de conquête, c’est un fait un bon jeu de gestion , sans plus.
Cependant les règles auraient pu être optimisé et écrite correctement.
Sur une autre table, Yon, Paulo, Andre, Balrog et moi nous engageons sur le développement de civilisation dans Historia.
C’est un jeu édité par Gigamic , sous licence Giochix.
C’est donc un jeu italien, et ça se sent de moins en moins.
Pour une fois, les règles sont simples, limpides, et il ne nous a manqué qu’une seule chose, le rappel sur la navigation pour certaines cartes actions.
Ces cartes actions sont le moteur du jeu, elles se jouent dans un certain ordre, et l’on est jamais sûr de toutes les récupérer.
On peut même quasiment faire une partie sans reprendre une seule fois toutes ses cartes en main, c’est la partie la plus plaisante du jeu.
On reprochera cependant une carte du monde un peu petite, où on a parfois du mal à accumuler les cubes.
Les avis, après cette première partie sont mitigés, il va falloir faire revenir le boite rapidement, en changeant quelques joueurs pour voir ce qui se passe.
Mais cette fois, nous ne jouerons pas avec les Allemands (la couleur grise), tellement les conseillers semblent moins puissants que ceux des autres nations.
Paulo préfère nettement Nations, par exemple et j’hésite encore, étant le seul à trouver une certaine beauté à ce jeu.
La partie durant un certain temps, voire un temps certain, le premier groupe termine la soirée avec un bon vieux Snow Tails , et une victoire de Julie, qui a réussi à passer entre les sapins sans problèmes.
On reviendra la semaine prochaine pour de nouvelles aventures, aussi riche si possible.
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C’est parti pour du Portes, Monstres, Trésors!
Paulo, l’elfe roublard, Yon la prêtresse de la Lumière et moi, le nain avec une arbalète, nous embarquons donc pour la Varisie dans le premier scénario d’initiation.
Nous finissons avec trois cartes dans la défausse des bénédictions, et grâce à des jets de dès absolument démoniaque. J’ai battu une bonne partie des sbires et des adversaires grâce à mon arbalète et mes compétences en jet à distance.
Nous décidons alors de faire le deuxième scénario dans la foulée, mais les jets de dès furent nettement plus compliqués. On y reviendra clairement, on veut battre absolument Podiker l’alchimiste.
À bientôt pour de nouvelles aventures.
Une soirée pour les nains cavernicoles! Et c’est Halloween!
On espère le revoir le plus tôt possible.
J’ai quand même réussi à laisser mon appareil photo à la maison, ce qui laisse ce petit goût d’inachevé.
Dans un premier temps, Fabolo, Paulo, NDrew et Balrog se lancent à la conquête du nord des Etats-Unis, dans Lewis et Clark avec une très nette victoire de NDrew, largement devant ses concurrents du soir.
Sur une autre table, avec Julie, Yon Inthamoussou et Else, je m’en vais miner et cultiver, avec des nains dans Caverna.
Ce jeu continue d’être une bonne pioche, presque plus facile qu’Agricola, avec beaucoup moins de tensions sur la nourriture notamment, puisqu’il n’y a pas besoin de bâtiments spéciaux pour faire la cuisine.
Je n’ai jamais pris de pion mendicité dans ce jeu, alors que dans son prédécesseur, par contre, j’ai l’habitude de les collectionner.
Il faudrait que je compte, j’ai aussi l’impression qu’il y a plus de cases d’action, ce qui permet de ne pas être bloqué. J’ai aussi beaucoup joué sur les expéditions, en négligeant les bâtiments jaunes, qui ramènent un maximum de points.
Comme d’habitude, on ne peut pas tout faire.
De son côté, Else a été tranquille et a pu construire un bon nombre de ces bâtiments.
C’est lui qui l’emporte avec plus de 20 points d’avance sur Julie et moi.
Pendant que cette dernière partie se termine, Paulo et Fabolo s’expliquent en tête à tête dans l’espace des dès de Quantum, et il semble que Paulo l’emporte dans ce jeu qui n’a pas reçu que des éloges.
Je n’ai pas du tout apprécié ce jeu, sur la seule partie que j’ai faite. Je n’ai même pas envie de lui redonner une chance. La seule mécanique, c’est du lancer de dés, ce qui rend les parties très aléatoires. J’ai beau avoir gagné, je me suis ennuyer profondément.
On termine alors à 6 joueurs avec une nouvelle partie de Ca$h and Gun$, dans laquelle Yon perd la vie au dernier tour, et Paulo finit par gagner grâce à bon nombre de billets de 20 000$.
On se retrouve la semaine prochaine pour de nouvelles aventures.
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